La harpe éolienne
La brise fait vibrer les cordes de la harpe, les silences sont habités par les résonances que le souffle du vent entretient. Les pièces évoquant l’aube légère, les lumières du soir, l’eau qui coule, les pépiements des oiseaux ou les vents qui décoiffent font écho aux espaces extérieurs. La fluidité des arpèges de la harpe a inspiré nombre de compositeurs, qui lui ont volontiers associé les éléments aquatiques et aériens.
Un programme à entendre en pleine nature, sous des chênes, près de l’eau, dans un jardin, au petit matin, en plein midi ou au couchant.
harpe seule
Marcel Grandjany, Dans la forêt du charme et de l’enchantement
Fuminori Tanada, Mysterious morning
Marcel Tournier, Au matin
John Cage, In a landscape
Alphonse Hasselmans, La Source
Robert Schumann, L’oiseau prophète
Louis-Claude Daquin, Le Coucou
François Couperin, Le Rossignol en amour
Jean-Philippe Rameau, Le Rappel des oiseaux
Michel Corrette, Les giboulées de mars
Louis-Claude Daquin, Les vents en courroux
Claude Debussy, Le vent dans la pleine
Jacques Ibert, En barque, le soir…
Edith Lejet, De lumière et de cieux embrasés
Fiche technique détaillée : utiliser le formulaire de contact
programme disponible à partir du printemps 2024